Samedi 28 août à 15h30 aura lieu la finale de la Challenge Cup 2010. Le stade de Wembley va vibrer pour cette rencontre entre deux cadors du championnat anglais : les Warrington Wolves et les Leeds Rhinos. Ce n’est rien d’autre que le tenant du titre et le champion de Super League, on ne pouvait rêver mieux comme affiche… Pour l’occasion, le TO vous propose de suivre cette rencontre depuis son Club House où l’équipe du bar vous accueillera.
Les deux équipes sont qualifiées pour les play-offs de Super League, Warrington a fini 3ème avec 38 points et Leeds 4ème (33 points). Dans les confrontations directes cette saison, les Rhinos mènent 2-0 : ils l’ont emporté sur leur pelouse 26 à 16 puis sont allés gagner au Halliwell Jones Stadium un mois et demi plus tard 30-37. Ils partent donc avec un avantage psychologique.
En demi-finale, Warrington avait (malheureusement) disposé d’une équipe française, les Dragons Catalans. 54 à 12, voilà quel a été le score final au terme d’un match survolé par les anglais. Dans l’autre demi-finale, Leeds a eu du mal à se défaire de Saint Helens (32-28) dans un match plein de suspens.
Les deux équipes restent sur des dynamiques semblables de deux victoires consécutives en championnat. Les Rhinos ont largement battu leurs deux derniers adversaires : 38-6 contre Castleford et 52-6 contre les Dragons Catalans. Son adversaire du jour a lui disposé des Wakefield Wildcats (36-18) et de Hull FC sur le même score.
Ces scores reflètent la puissance offensive des deux équipes. D’un côté les Wolves comptent dans leurs rangs Chris RILEY et ses 25 essais en championnat, Chris HICKS (22 essais) et Matt KING (17). Leur adversaire ne sera pas en reste avec Ryan HALL (22) et Danny MACGUIRE (21). Il y a aura sur la pelouse cinq des dix meilleurs marqueurs d’essais de Super League pour un total de 107 réalisations à eux cinq. Le spectacle devrait donc être au rendez vous.
Les bookmakers donnent un très léger avantage aux Rhinos. C’est une rencontre où il est difficile de pronostiquer sur un vainqueur (si ce n’est le XIII).
M. P.
